J’ai terminé Les Dimanches d’un bourgeois de Paris de Maupassant.
Ça se termine sur malheureusement sur une démonstration misogyne typique de l’auteur (qui était connu pour avoir la vérole et contaminer sciemment les prostituées qu’il fréquentait).
Le personnage principal (pour rappel un petit fonctionnaire bourgeois parisien) entre sur un coup de tête à un meeting féministe international pour l’égalité des droits. “Les hommes ont eu leur 1789, au tour des femmes de faire le leur”.
Commentaire de Maupassant : toutes des laiderons frustrées par leur célibat ou des échappées d’asiles psychiatriques.
Le chapitre d’avant, un “anarchiste” nous expliquait que George Sand était une exception et que les femmes n’avaient pas besoin des mêmes droits que les hommes car elles les dominaient déjà par leurs charmes.
Je découvre cette facade de Maupassant. Je ne le connais pas vraiment vu que j’ai lu « La vie » de lui par deux fois. J’en garde un bon souvenir et il ne me semble pas avoir perçu de misogynie dans cet ouvrage.
J’ai lu pas mal de ses nouvelles et toutes ne laissent pas transparaître cette misogynie. J’aime bien celles qui se passent en Normandie. Il était très doué pour croquer les personnages et les tourner en dérision.
J’ai terminé Les Dimanches d’un bourgeois de Paris de Maupassant.
Ça se termine sur malheureusement sur une démonstration misogyne typique de l’auteur (qui était connu pour avoir la vérole et contaminer sciemment les prostituées qu’il fréquentait).
Le personnage principal (pour rappel un petit fonctionnaire bourgeois parisien) entre sur un coup de tête à un meeting féministe international pour l’égalité des droits. “Les hommes ont eu leur 1789, au tour des femmes de faire le leur”. Commentaire de Maupassant : toutes des laiderons frustrées par leur célibat ou des échappées d’asiles psychiatriques.
Le chapitre d’avant, un “anarchiste” nous expliquait que George Sand était une exception et que les femmes n’avaient pas besoin des mêmes droits que les hommes car elles les dominaient déjà par leurs charmes.
Je découvre cette facade de Maupassant. Je ne le connais pas vraiment vu que j’ai lu « La vie » de lui par deux fois. J’en garde un bon souvenir et il ne me semble pas avoir perçu de misogynie dans cet ouvrage.
J’ai lu pas mal de ses nouvelles et toutes ne laissent pas transparaître cette misogynie. J’aime bien celles qui se passent en Normandie. Il était très doué pour croquer les personnages et les tourner en dérision.