À 28 ans, Alice Caute est factrice de piano. Dans son atelier, elle répare, accorde, restaure et prête même cet instrument lors de concerts. Un vrai défi à l'heure où ce métier d'art est menacé de disparition.
Je ne sais pas si l’intérêt se mesure uniquement de cette façon. Nous n’avons pas tous le même rapport à l’objet, à son visuel, sa matérialité, au son qu’il produit et même à son odeur.
Je me rappelle plus jeune, quand mes parents ont arrêté de louer un piano à cordes pour me prendre un piano électrique droit. Ça n’a plus jamais été la même chose et j’étais contente de pouvoir jouer sur un vrai piano quand j’allais à mes cours dans mon école de musique.
Je ne sais pas si l’intérêt se mesure uniquement de cette façon. Nous n’avons pas tous le même rapport à l’objet, à son visuel, sa matérialité, au son qu’il produit et même à son odeur.
Je me rappelle plus jeune, quand mes parents ont arrêté de louer un piano à cordes pour me prendre un piano électrique droit. Ça n’a plus jamais été la même chose et j’étais contente de pouvoir jouer sur un vrai piano quand j’allais à mes cours dans mon école de musique.