FAITES SAUTER LE NUMERUS CLAUSUS!
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MÊME PAS, IL CHANGE JUSTE DE NOM: https://slrpnk.net/comment/2901306
ET NON J’AI PAS ENVIE D’ARRÊTER DE CRIER
EDIT: ARTICLE SANS PAYWALL https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/la-suppression-du-numerus-clausus-un-simple-effet-d-annonce.html COMME D’HAB, JUSTE UN EFFET D’ANNONCE SANS MOYENS ALIGNÉS AVEC LES AMBITIONS
La télémédecine ça me fait toujours penser aux scènes de l’hôpital dans idiocracy et ici 😅
Un peu bidon leurs arguments, non ?
Je trouve qu’il y a une partie de l’argument qui fonctionne: De la teleconsultation ne remplace pas de vrais medecins et ne repond pas au probleme des deserts medicaux.
Par contre:
- pourquoi la sncf s’occupe des deserts medicaux ?
- je ne connais pas, mais je serais surpris que la frequence des trains soit une raison importante des deserts medicaux. J’imagine que le manqaue de developpement culturel et economique est une meilleure explication.
et ne repond pas au probleme des deserts medicaux.
Les médecins et leur putain de numerus clausus non plus. Désolé de préférer des pis-aller pour avoir les médocs dont on a besoin en moins de 6 mois!
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L’ordre des médecins ?
Celui qui punit les médecins qui alertent sur les violences faites aux enfants ? Comment on peut encore leur donner du crédit ?
Bah pour le coup c’est pas parcequ’ils disent de la merde sur certains sujets, qu’ils en disent sur tous les sujets. Peut-etre que les violences faites aux enfants et la telemedecine n’ont rien a voir.
Je dis pas qu’ils ont raison sur ce sujet de la telemedecine. Je pense juste qu’on peut pas pre-juger en ce basant sur un autre truc pas lie.
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Au contraire, j’ai l’impression que c’est lié. On dirait surtout qu’ils voudraient que rien ne vienne changer leur statut. Ils sont contre la prescription d’antibio par les pharmaciens, contre la télémédecine, contre la vaccination par d’autres que par eux, et apparemment contre les médecins qui alertent sur les violences. Et il ne s’agirait pas non plus de les obliger à s’installer là où il y en a besoin. Ça donne vraiment l’impression d’un ordre qui ne prend pas la mesure de l’urgence à s’adapter à un monde qui change vite.